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BMW xDRIVE Tour à Val d’Isère

Je suis partie pour à peine 48h de déplacement et j’ai vécu tellement de choses que j’ai plutôt l’impression d’avoir été absente 8 jours… Tout ça sans pression, sans « hop hop hop on s’dépêche, on va être à la bourre ». Le xDRIVE Tour c’est l’occasion pour BMW de présenter la technologie xDRIVE dans une station de ski.

Vous allez sans doute penser que je n’ai rien à faire dans une session de conduite sur neige/glace étant donné que je ne suis pas « pilote », cependant, je parle assez de sécurité pour être curieuse de voir ce que cela peut donner de conduire dans une situation que je qualifie de « risquée » pour moi,.

Ces événements se déroulent entre 5h15 (mardi) et 18h59 (mercredi) #JackBauer

  • le réveil pique à 5h15 —> VTC à 5h30 —>  Gare de Lyon à 6h00 —> train à 6h29 —> Gare de Chambéry à 9h30 —> récupération des BMW qui nous mèneront à Val d’Isère.
  • un peu plus de 2h de route en commençant par la Serie 7 (740Le), un passage par le barrage de Tignes et une arrivée dans Val d’Isère pile pour le déjeunerbmw-xdrive-tour-val-d-isère-2017-en-voiture-carine (2)
  • à la montagne, c’est simple, on mange que des trucs caloriques, on n’a pas dérogé à cette règle : trio de fondues de fromages à la Fondue Factory, resto lancé par le frère et le neveu de Jean-Claude Killy

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  • rendez-vous à la Conciergerie BMW aux pieds des pistes pour prendre un petit café avant de monter dans nos voitures (X1 pour moi) découvrir une route un peu plus montagneuse et enneigée pour apprécier les 4 roues motrices. La jolie i8 attire beaucoup l’attention

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  • une fois sur la route choisie, Jean Michel Pasdebol était parmi nous : la déneigeuse venait de dégager toute la belle poudre blanche de notre terrain de jeu. On ne peut pas dire que l’expérience fut transcendante, ça manquait clairement de neige et de glace pour qu’on s’amuse et qu’on teste vraiment le système… Ne nous avouons pas vaincus pour autant, il reste la session du lendemain matin sur circuit. A ce moment de la journée, il faisait si beau que nous n’avions aucune certitude quant à la faisabilité de cet essai.
  • de retour au dôme BMW, on reprend les voitures pour aller en direction d’un atelier chocolaté avec un pâtissier MOF (meilleur ouvrir de France – Patrick Chevallot) accompagné de son chocolatier. Là, on ne rigole plus, visiblement, je suis entourée de mecs qui aiment manger mais qui n’ont pas tellement l’air d’avoir l’habitude de cuisiner (pis, bon, faut avoir le temps). On se retourne les manches pour confectionner des truffes et du caramel. Pour ma part, je fais souvent la popotte, et souvent du sucré, je connais les termes en cuisine, je manie des poches à douille, mais je ne suis pas une grande manuelle, donc je suis pas non plus une grande technicienne 😉 C’était super intéressant et surtout, très goûtu ! On a pu repartir avec un gros coeur en chocolat (Saint Valentin oblige) blindé de minis coeurs au chocolats fourrés caramel.
  • on commence à s’approcher de l’heure de dîner, il faut donc se préparer en allant dans notre hôtel. Le mien s’appelle « Le Blizzard », ambiance bois, cheminées, peaux de bêtes, ultra cosy. Ma chambre donne sur la piscine mais, plus important de tout, sur les pistes et vers 19h, je peux voir la descente aux flambeaux et le feu d’artifice. C’est beeeaaauuuu !
  • paf, c’est l’heure de dîner, retour à la Conciergerie pour un petit apéro avant d’aller au restaurant « La pierrade » situé dans l’hôtel « Aigle des neiges ». Personne n’est végétarien, ça tombe bien, on se fait une orgie de viande. La salade qui accompagnait tout ça n’a pas eu un succès fou 😉
  • et là, on se tâte, 23h : on sort, on boit un verre, on va se pieuter ? Kwamé prend l’option « claqué, j’vais me coucher ». Je suis un peu le cul entre 2 chaises, mais une fois que j’ai vu la foule dans note hôtel, que ce soit au bar ou au billard, je prends aussi l’option « plumard ». Ugo, JB et Sandra sont plus courageux (et ont sans doute plus l’habitude que moi de se coucher tard 😉 ) et traînent jusqu’à pas d’heure (oui, pour moi, 2h du mat’, c’est pas d’heure !)
  • la nuit à plus de 1500 m d’altitude est toujours un peu difficile quand on n’a pas l’habitude, plusieurs réveils nocturnes, et enfin, le vrai réveil vers 7h. Sachant que le rendez-vous pour le petit-déj’ au dôme est à 9h, j’ai largement de me préparer.
  • une fois sur place, les viennoiseries de la maison Chevallot nous attendent avec le café. On espère tous que le circuit sera ouvert et qu’il aura bien glacé pendant la nuit, j’avoue qu’on a un peu les miquettes à ce sujet… ma seule inquiétude concerne ma paire de lunettes de soleil qui sont à ma vue et que je ne retrouve plus.
  • à 10h00 on est sur place, le circuit n’est pas grand, mais pour faire de la conduite hivernale, pas besoin d’avoir un circuit de Nascar 😉 On va avoir droit à une M140i et M240i pour découvrir les fonctions xDRIVE : quatre roues motrices et des pneus cloutés qui vont bien. C’est maintenant que ça se joue. A quoi ça sert cette technologie ? A ne pas vous exploser comme une buse parce que vous ne maîtrisez pas votre véhicule. Comment je le sais ? Parce que je l’ai testée et que justement, je ne suis pas pilote, j’ai une maîtrise basique / instinctive. Je suis comme la plupart des gens, pas forcément en confiance quand les conditions météo ne sont pas celles dont j’ai l’habitude, sauf si on me dit « t’inquiète pas, ça va passer ». On commence par une session d’accélération / freinage avec évitement. La voiture ne patine pas, tous les système d’aide sont enclenchés. Je démarre doucement pour mon premier passage et j’essaie de piger le truc. La voiture part vers la gauche, la droite, je mets des légers coups de volant, mais sans jamais que je me sente en danger. Et c’est là que mon copilote me dit qu’il va peut être falloir que j’y aille plus franchement sur les coups de volant car finalement, si de dehors ça fait impressionnant de voir la voiture se balader, c’est justement ce qu’il faut éviter 😉 J’essaie donc de m’appliquer, ça passe mieux et ça devient drôle. Je réalise là vraiment que la voiture calcule tout à ma place pour m’éviter que je m’éclate dans un mur de neige ou que je finisse en tête-à-queue. Ca accélère bien et ça freine aussi très bien. Je me dis alors que si je devais simplement éviter un petit obstacle sur une route normale à allure modérée, avec le même type de sol, je n’aurai aucun souci. Quand je vois mes collègues masculins passer après moi, je vois qu’ils contrôlent mieux la voiture, même si ça paraît moins impressionnant et du coup, moins photogénique que moi (en tous cas, c’est ce que j’imagine 🙂 )
  • l’exercice suivant consiste à tourner autour d’un plot, façon donut, capot toujours face au plot donc. Tous les systèmes d’aide sont encore actifs, et je passe encore la première. Là, j’avoue, le plot a fini sous la bagnole, c’est nettement plus difficile, cependant, ce que j’ai appris là c’est que vous pouvez appuyer comme un taré sur l’accélérateur, si le volant est braqué d’un côté, il agira comme un frein, vous n’aurez donc aucune possibilité de sentir une accélération. Pour le coup, comment réussir à vous expliquer que cet exercice correspond à une situation que vous pourriez rencontrer en vrai ? Pas évident, mais c’est en fait surtout très amusant. Là où j’ai trouvé ça moins drôle, c’est quand j’ai entendu le chef nous dire « bon, on a du temps, on remet ça en désactivant tous les systèmes ». Euuuuhhhh… Bon, j’y vais mais j’ai peur !!! Là, il s’agit plus de pomper sur la pédale d’accélérateur pour que la voiture se mette en mouvement et garde un rythme un tant soit peu régulier. Ca tire nettement plus sur les bras et les épaules et je suis plus du tout à l’aise. Je n’ai pas senti de crainte puisque j’étais encadrée mais je préfère la technologie quand elle existe et qu’elle peut m’aider.
  • Mention spéciale à nos 2 pilotes-instructeurs, Laurent et Pierre Yves, parce qu’ils sont adorables, pédagogues, drôles et surtout, ils conduisent bien 😉 Quand j’ai refait les mêmes exercices aux côtés de Pierre Yves qui pilotait la M140i, j’ai trouvé que c’était juste extra. Je ne saurai pas faire ce qu’ils font mais ils permettent de montrer les capacités de la voiture, c’est mieux que de faire un tour dans Space Mountain !

La kiffance !!! 😍😍😍 #bmwxdrivetour @bmwfrance @valdisere

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  • il est désormais l’heure d’aller déjeuner et de discuter de notre expérience. Et hop, on prend un oeuf pour aller au restaurant d’altitude « la Folie Douce ». Je découvre ce concept en 2017. Pardon, la montagne, je la préfère en été pour les randos et je suis pas hype ! La Folie Douce, c’est Ibiza, la plage en moins, la neige en plus. Mais alors, est-ce l’effet de cette poudreuse autour qui rend les gens totalement ouf ? Tu déjeunes sous le soleil montagnard, en altitude, avec des familles, et là, t’as des chanteurs / danseurs à moitié à poil qui font un show  sur une scène extérieure avec martifouet à la main devant des enfants de 6-8 ans qui sont ravis de ce spectacle. C’est tellement décalé ! Le repas était très agréable dans cette ambiance où finalement, on s’imaginerait bien monter sur scène faire les couillons.
  • et paf, il faut repartir, en prenant un bain de foule sous le champagne qui coule à flot… En arrivant, je suis tout de même inquiète pour mes lunettes alors je fouille les voitures mais sans rien trouver. Et c’est là que j’ai envie de vous dire qu’un service de conciergerie, c’est bien ! Je n’ai même pas eu à contacter l’hôtel dans lequel j’avais fait le check-out pour vérifier si par hasard, personne n’aurait trouvé mes précieuses lunettes dans la chambre. Ils ont tout géré. Mes lunettes étaient bien à l’hôtel et en plus, elles sont arrivées au dôme BMW sans que je lève le petit doigt. De là à dire que je l’ai fait exprès pour tester le service, il n’y a qu’un pas 😉
  • il nous reste un peu de temps devant nous avant de reprendre le chemin de la gare de Chambéry. Il faut que je vous dise que depuis la veille, les luges postées devant le dôme nous faisaient grave envie. Une luge BMW avec volant et frein de compét’. C’est impossible de repartir sans en profiter. Nous voilà donc partis vers la piste de luge avec Kwamé et Sandra. 12 ans d’âge mental à nous 3. Ne cherchez pas ces modèles de luge dans le commerce, elles ne sont pas vendues. Qu’est ce qu’on s’est éclatés sur la piste. On a vraiment un style à part tous les 3. Certains descendent juste avec la pelle en plastique sous les fesses, d’autres sont assis dans des luges plastiques un peu plus évoluées, et après, il y a nous, avec nos luges BMW : le summum de la classe internationale !bmw-xdrive-tour-val-d-isère-2017-en-voiture-carine (62)
  • et c’est maintenant l’heure de repartir. On réalise qu’on a fait tellement de choses, qu’on a la sensation d’avoir passé plusieurs jours à la montagne, entre potes, à conduire, faire des photos, parler bagnoles, à dire des bêtises, à chanter, faire des imitations…

Si vous passez à Val d’Isère, arrêtez-vous au dôme BMW, vous serez bien accueillis (ils proposent une foultitude de services sur place) vous pourrez faire de la luge et, si le temps le permet, vous pourrez tester xDRIVE !




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