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La crevaison ne m’arrêtera plus

Jamais il ne m’est jamais arrivée de crever un pneu sur la route. Pourtant, il semble que la moyenne mondiale se situe autour de six crevaisons dans une « carrière » d’automobiliste. Il semble que les routes de la région parisienne soient un peu plus fréquentables qu’ailleurs sur la planète. Si j’avais un souhait à formuler en ce début d’année, ce serait de ne pas avoir à m’arrêter sur une bande d’arrêt d’urgence pour devoir changer une roue (dans les pires conditions : de nuit, sous la pluie).

Ce souhait pourrait très bien se réaliser, même en cas de fâcheuse crevaison. Aujourd’hui, Bridgestone a dévoilé un pneu de nouvelle génération qui permet de rouler durant 80 kilomètres et jusqu’à 80 km/h après une crevaison.

Baptisée DriveGuard, il permet de garder le contrôle de son véhicule lors d’une crevaison. Les flancs renforcés permettent d’assurer une forme minimale au pneu pour éviter que la jante ne vienne toucher l’asphalte lors de la perte totale de pression. Cette astuce technique évite déjà bon nombre d’accidents.

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À l’instant même de la crevaison, une alerte retentit au tableau de bord grâce à la technologie TPMS (système de surveillance de la pression des pneus) obligatoire sur toutes les voitures neuves vendues depuis 2014 et qui équipe également ce nouveau pneu Bridgestone.

Dans les faits, l’alerte permet d’avertir le conducteur qu’il y a un problème. Car le pneu perd toute la pression, mais reste utilisable.

J’ai pu tester ça en situation en roulant avec le pneu avant gauche méchamment crevé sur le flanc par un énorme clou. Consciencieuse, j’ai suivi les indications : ne pas dépasser 80 km/h et s’arrêter rapidement pour faire vérifier le pneu par un spécialiste.

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Sur les routes des hauteurs de Nice, il était de toute façon difficile de dépasser les 80 km/h au cœur du trafic. A basse vitesse, le pneu avant gauche émettait un bruit « vibrant », sans transmettre cette sensation au volant. A partir de 70 km/h, le son émis par le pneu crevé était caché par les autres bruits de roulement de la Peugeot 308 d’essai.

Si les virages à gauche passaient avec une étonnante facilité, il y avait une sensation de difficulté supplémentaire pour les courbes à droite, comme si la voiture devenait un peu plus pataude pour tourner.

Jusqu’ici, un pneu run-flat et le TPMS, il n’y a pas d’énormes révolutions. C’est le développement de nouvelles technologies qui permettent à ce pneu de se faire remarquer. Avec bientôt deux ans d’expérience du « DriveGuard » aux Etats-Unis, ce nouveau produit en Europe profite d’une technologie brevetée qui redistribue la chaleur générée par les frictions sur le pneu crevé.

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Même si le pneu était déjà chaud lors de nos douze kilomètres d’essais, il parvient à rester à une température qui lui permet de ne pas partir en lambeau et assure un minimum de 80 kilomètres en sécurité.

Le DriveGuard de Bridgestone sera disponible en Europe à partir du mois de mars en 19 tailles différentes pour les pneus été et en 11 tailles pour les pneus hiver, entre 185/65 R15 et 245/40 R18.




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  1. Jpl51

    Cochonnerie de Mustang. Du tape à l’oeil’ un énorme moteur très porté sur la boisson et des pannes très précoces et fort coûteuses. L’engin peut se déglinguer à 20.000 km. Les américains changent souvent de voiture et là-bas la Mustang coûte dans les 20.000 €. Déjà les ventes ici sont en baisse. Gros malus et malus annuel. Véhicule à conserver le temps du crédit…. mais bon, pleins de voitures actuelles sont «  chic et toc ». Le moindre choc et le monstrueux pare choc s’en va. Les plus fiables seraient Honda et Subaru, mais pour combien de temps ? Et des Honda made in Japan. Actuellement il n’y en a plus ici . Les Subaru oui.


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