Essai : Volvo XC90

Tel un joueur des All Blacks, la XC90 transforme son essai (depuis celui effectué en Bretagne).

Cette fois, nous avons pu rouler avec l’enfant et encore une fois, ce fut un pur bonheur. Cette voiture est un tel bijou qu’essayer une concurrente (une allemande, par exemple) ne me vient pas à l’esprit… Désolée pour tous ceux qui attendraient un duel face à la Q7 ou la X5. Extérieurement parlant, selon moi (ça vaut ce que ça vaut) il n’y a pas de comparatif possible.

La ligne est simple et sa silhouette est très soft pour un véhicule de 5 mètres de long et 2 mètres de large.

Le marteau de Thor dessiné dans les phares à LED, du bouleau scandinave sur la planche de bord. On se sent installé confortablement grâce à la qualité des sièges en cuir Nappa perforé, ventilé ou chauffé, et signé d’un petit drapeau suédois sur la couture. Mamma mia, qu’est ce que j’aime conduire des Volvo !

Les puristes vont encore faire la tronche avec un passage à 4 cylindres, mais les clients seront ravis de pas se prendre un malus sur leur assurance 😉

La XC90 propose une multitude d’aides à la conduite : le régulateur adaptatif ou l’alerte de franchissement de ligne, l’assistance de conduite dans les embouteillages et le système anti-collision qui analyse la route et assiste le conducteur en freinant à sa place en cas de danger.

La voiture est blindée de capteurs pour surveiller en permanence les alentours et protéger le conducteur et ses occupants en cas d’incident ou d’accident.

Ainsi, si les capteurs détectent une éventuelle sortie de route, la ceinture est prête à vous coller au siège pour minimiser le choc jusqu’à ce que l’auto s’arrête totalement.

L’excellence de la tablette tactile Sensus et la qualité sublissime du système audio Bowers & Wilkins vous emmèneront là où personne ne vous a sans doute jamais emmené : au Concert Hall de Goteborg 😉

Le design, la sécurité, la technologie et le plaisir de conduire la XC90 sont tellement parfaits que je ne trouve absolument rien à dire de négatif et je vous invite à relire mon premier billet là.

Alors, oui, vous allez trouver mon billet très léger, mais que voulez vous, quand je suis conquise et qu’on atteint ce niveau de qualité en auto, parfois, 500 ou 1000 mots sont inutiles… C’est là où Volvo est fort.